Red Band Society

drama
• genre: (teen)drama(de fou)
• format: 43 minutes
• saisons: première saison en diffusion depuis le 17 septembre
• diffuseur: Fox
• créateur: Margaret Nagle, mais Albert Espinosa en premier (serie originale espagnole)

Le délire: Un délire qui casse l’ambiance, de prime abord. La série suit une bande de teens qui vivent dans leur chambre d’hôpital. Tellement ils sont trop malades. Y a le gars en chimio qui a perdu une jambe à cause du cancer, son pote renoi qui a besoin de nouveaux poumons, une petit gow mignonne atteinte de graves troubles de l’alimentation, little Charlie est dans le coma, et débarquent dans ce premier épisode un mec qui a le même cancer que l’amputé en fauteuil, et une pom-pom girl dont le coeur menace de lâcher.
Il sont tous plutôt très abimés, clairement. Mais le vrai point commun c’est qu’ils sont tous cooooooooooooooooool de fou. Mais de fou vraiment jte jure. La série n’a rien de morbide. La série transforme l’hôpital en lycée, les personnages principaux sont juste une bande de cool kids qui sèchent les cours pour aller acheter de l’alcool, l’infirmière chef tient le rôle de la surveillante ultra relou (mais qui a un bon fond tmtc), et le chirurgien (Dave Annable, tellement si beau) campe le proviseur détente mais patron. Il y a évidemment des histoires d’amour entre les teens, y a déjà machin c’est l’ex de machin, on aime bien. Tous les sentiments, tous les questionnements sont exacerbés – comme dans Secret Story, yes – car on sait bien que c’est pas vraiment la cour de récré, mais bel et bien les couloirs d’un hôpital. Le Yolisme qui est total prend un Y majuscule, car la mort n’est vraiment pas loin. Ils sont beaux, ces jeunes acteurs sont tous magnifiques. Et c’est Steven Spielberg pépère à la prod, aiight.
Le seul (petit) point négatif de la série après cet épisode 1, c’est la narration. En mode voix off relou de feu qui commente toutes les scènes. Typiquement la grande tante en repas de famille qui fait des apartés systématiques et intervient solo, en loucedé, sur chacune des conversations. Là, c’est le petit Charlie, qui te parle sans arrêt, oklm dans le coma. Chelou quand même. Dans les premières minutes, il sort un “Yes, this is me, talking to you, from a coma. Deal with it“. Ok mdr. Dommage qu’il ne puisse pas le tweeter.

Pour> mais les teen drama lovers, pour moi et mes copiiiines. et pour les plus cool du lycée (moi et mes copines encore ptdrrrrr)
Pas pour> jsais pas, les espagnols? qui ont déjà maté la première version? mais non même eux ils devraient regarder

La note: 9/10

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